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C’est la rééducation du geste de l’écriture. La graphothérapie traite des troubles de l’écriture en particulier de la dysgraphie.
L’objectif ? Acquérir de manière ludique et personnalisée les gestes graphiques primordiaux nécessaires à une écriture lisible, fluide, rapide et sans douleur.
Comment ? A l’aide d’activités de motricité fine, de petits jeux et autres astuces, l’enfant oublie l’écriture, libère son geste, délie son poignet et ses doigts.
Retrouver l’aisance de l’écriture va permettre à l’enfant, à l’adolescent ou à l’adulte de se concentrer sur le fond de son écrit plutôt que sur la forme.
Une belle écriture est gage de meilleurs résultats scolaires, d’une meilleure estime de soi ! Écrire redevient un plaisir.
Ouvrir le patient à ses perceptions, l’ancrer dans le réel et surtout : donner du sens ! Se sentant investi, la concentration viendra d’elle-même.
Nous ne pouvons mémoriser ce qui n’a pas de sens. Grâce à des analyses fines et poussées, l’élève pourra mémoriser ce qu’il a compris et reformuler grâce à ses propres mots.
Un enfant n’est pas en échec car « il n’est pas fait pour l’école ou les études ». Il est en échec car nous n’avons pas su trouver « sa porte d’entrée » (Nuyts). L’échec n’est pas une fatalité.
Maîtresse d’école et graphothérapeute certifiée par le CNPG de Paris.
Confrontée également aux élèves dysorthographiques, dyslexiques, dyscalculiques, je me suis formée à la méthode NUYTS.
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